Dans l'effervescence du monde du travail, un phénomène fait son chemin, en toute discrétion : le "quiet quitting".
Derrière ce terme se cache un enjeu majeur pour de nombreux employeurs : le désengagement de leurs salariés. Ces derniers, bien qu'officiellement dans les rangs, manifestent un faible niveau d'énergie et d'investissement dans leur travail. Un véritable casse-tête pour les employeurs, qui portent la charge mentale et financière de l'entreprise. ⚡
Cependant, regardons les choses sous un angle différent. Ces "démissionnaires silencieux" ne seraient-ils pas une source de potentialités inexploitées ? Pourraient-ils représenter une opportunité de croissance et de réinvention ? On vous dévoile tout ici ! 👇
La scène du travail moderne est en constante évolution, avec des rôles changeants et des environnements de travail en mutation. Il n'est donc pas surprenant que de nouvelles tendances se dessinent, nous invitant à réévaluer notre rapport au travail.
L'une de ces tendances, le "quiet quitting", a fait son apparition en force, même si en réalité, elle s'est insinuée dans le monde du travail avec la discrétion qui caractérise ses pratiquants.
Le "quiet quitting", ou démission silencieuse, est un terme qui a pris de l'ampleur suite à une étude publiée en septembre 2022 par le cabinet américain Gallup. Cette étude révélait que les "quiet quitters" représentaient jusqu'à 50 % du marché des actifs américains.
Ceux qui pratiquent le "quiet quitting" se contentent de faire le strict nécessaire dans leur rôle, sans plus. Ils arrivent à l'heure, partent à l'heure, et ne s'engagent pas au-delà de leurs fonctions stipulées. La France n'est pas en reste dans cette nouvelle tendance.
Selon un sondage IFOP mené en 2023, plus d'un tiers des actifs français se reconnaissent dans la description du "quiet quitting". Il est important de noter que le "quiet quitting" ne concerne pas le refus des heures supplémentaires, mais plutôt une attitude de désengagement pendant les heures de travail régulières.
Cela peut se manifester par une réticence à prendre des initiatives ou à s'engager dans des activités qui dépassent le strict minimum de leurs responsabilités. Ainsi, le phénomène du “quiet quitting" peut sembler préoccupant, en particulier lorsque l'on considère l'impact potentiel sur la productivité et l'éthique du travail.
Cependant, c'est aussi un symptôme d'une réalité plus large : celle d'une force de travail qui cherche à rééquilibrer ses priorités et à redéfinir ce que signifie "travailler". Nous pouvons ainsi y voir une opportunité de repenser la façon dont nous structurons et valorisons le travail.
Alors, comment créer un environnement de travail qui reconnaît et respecte la quête d'équilibre des travailleurs, tout en favorisant un engagement authentique et une productivité durable ?
Traiter les symptômes ne fait que différer la maladie. Il en va de même pour le désengagement. Si on veut réellement changer la donne, il faut chambouler le système de travail et pas seulement panser les plaies.
Pour aborder la question du "quiet quitting" en tant qu'employeur, il est crucial de comprendre que la solution ne réside pas uniquement dans l'offre de privilèges ou de flexibilités.
Il s'agit également d'inculquer une culture d'engagement, de responsabilité et de compréhension mutuelle entre l'employeur et l'employé. Voici quelques suggestions :
Assurez-vous que chaque employé comprenne comment son travail s'intègre dans la vision globale de l'entreprise. S’il voit l'impact de son travail, il est plus susceptible de s'engager pleinement.
Sensibilisez vos employés à la réalité financière de l'entreprise, mentionnez ce qui se passerait si tout le monde adoptait une attitude de "quiet quitting".
Faire comprendre que la pérennité financière de l'entreprise est directement liée à leur propre sécurité d'emploi peut les aider à saisir l'importance de leur engagement.
Pourquoi ne pas mettre en place des outils qui facilitent le travail asynchrone ou à distance ? Ou proposer à vos employés des accès à des bureaux flexibles près de chez eux ?
Des bureaux modernes, accessibles pourraient favoriser le bien-être et booster le sentiment d'appartenance à l'entreprise.
Le véritable enjeu est de dépasser la simple relation transactionnelle entre employeur et employé, et de construire une culture d'entreprise basée sur la confiance, la responsabilité et le respect mutuel. Ces fondements solides permettront de surmonter le défi du "quiet quitting".
Chez Comeandwork, nous croyons en la transformation du milieu de travail pour favoriser l'engagement des employés.
Nos espaces de travail indépendants et flexibles sont conçus pour vous donner le confort du chez-soi tout en éliminant le fardeau des détails logistiques.
Avec Comeandwork, vous pouvez créer un environnement de travail adapté à la culture et aux valeurs de votre entreprise.
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Grâce à des locaux propres, bien équipés et accueillants, ainsi qu'à des événements et des animations originales pour renforcer la cohésion de vos équipes, Comeandwork vous offre les outils nécessaires pour que vos collaborateurs se sentent bien au travail et ainsi dire adieu au “bore out” et au “Quiet quitting” !
Alors, faut-il considérer le "Quiet Quitting" comme une opportunité de repenser nos modes de travail ? Il n'y a pas de réponse universelle. Chaque entreprise doit chercher la solution la plus adaptée à sa culture, à ses valeurs et aux besoins de ses employés.
Il est souvent recommandé d'explorer de nouvelles perspectives, de proposer des horaires flexibles et d'investir dans des espaces de travail attrayants.
Ce n'est pas tant une question de se conformer aux tendances du moment, mais plutôt de comprendre comment ces tendances peuvent contribuer à votre propre réussite. Alors, êtes-vous prêt à prendre le défi ?
62 rue du Faubourg Poissonnière
75010 Paris
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